Le cercle des 17, tome 1 : un début de série électrique !


L’auteur

Richard Paul Evans est né le 11 octobre 1962 à Salt Lake City, au Etats-Unis.

Diplômé de Cottonwood High School et de l’université de l’Utah, il est l’auteur de The Christmas Box et Walking on Water.

Si on agit par amour, il peut arriver qu’on s’égare, mais on ne se perd jamais.

Le Cercle des 17, Richard Paul Evans

L’histoire

Malgré les apparences, Michael Vey n’est pas un garçon ordinaire. En effet, il peut générer plus d’électricité qu’une anguille électrique ! Sa mère et lui font tout pour cacher ce pouvoir malgré les harcèlements dont il est victime.

Un jour, il découvre qu’il n’est pas le seul à être « électrique » : Taylor, la fille la plus populaire du lycée, l’est aussi ! Alors qu’ils tentent de découvrir si il existe d’autres jeunes comme eux, une mystérieuse académie leur offre une bourse d’étude, puis, devant leur refus, les prend en chasse…

Un exemple : on t’a expliqué que tous les hommes naissent égaux – or c’est faux. Certains sont riches, d’autres pauvres. Certains sont intelligents, d’autres non. Non, les hommes ne naissent pas égaux. C’est tout particulièrement vrai pour toi.

Le Cercle des 17, Richard Paul Evans

Mon avis

Points +

  • Une histoire riche en émotions, en humour et en suspense.
  • Des personnages attachants même si un peu clichés.
  • Les différents pouvoirs des personnages, tous en rapport avec l’électricité, sont très bien trouvés et m’ont permis de découvrir des choses que j’ignorais.

Points –

  • Les héros passent un peu vite du statut d’ados banals à celui de combattants : sans en avoir jamais vus auparavant, ils sont à peine effrayés par la présence d’un grand nombre d’ armes à feu et arrivent même à faire de l’humour pendant une bataille !
  • L’histoire d’amour entre Michael et Taylor est assez clichée et manque beaucoup d’intérêt ! On dirait un conte : le chevalier est amoureux de la princesse, il lui sauve la vie et elle tombe elle aussi amoureuse de lui pour son courage.
  • Il sonne sûrement mieux en anglais, mais le nom de leur groupe, « l’électroclan », m’a fait mourir de rire : ça fait un peu puéril pour des ados de 15 ans…

L’histoire m’a beaucoup plu, même si elle pourrait ressembler à d’autres livres de science-fiction elle a un caractère assez original et l’aspect scientifique est passionnant, on en apprend beaucoup ! J’ai hâte de lire les tomes suivants !